JOUR 1

Départ ou RDV 7h00 ? Personne ne sait, de toute façon nous avons décollé à 8 heures.
Nous voilà parti à 9 (Brigitte, Pierre, Éric, Stéphane, Mickaël, Nicolas R, Nicolas L,
Nicolas G et moi).

Nous arrivons à Treignac vers Midi ou nous retrouvons Marie-Laure et Nicolas Ren (Un
Nico de plus…).

Après une p’tite pause casse-croûte et l’installation des tentes, nous lançons le 1er débat sur
la logistique voiture (il y en aura d’autres) de notre première descente. Et finalement je ne sais
plus comment nous avons fait mais c’était certainement le meilleur choix.

On part donc en kayak de la plage juste en dessous du camping, sur la retenue, en direction du
barrage EDF. Après un peu d’escalade style YAMAKASY, Voici enfin notre premier contact avec
la VEZERE, juste en dessous du lâché.

Nous naviguons à 9 sur 11, Brigitte et Nicolas « RI » ayant préféré nous voir passer le Saut du
Loup depuis les berges. Merci à Nico pour ses signes car sans cela je serai sans doute encore en
train d’attendre le groupe (Qui m’avait oublié…pour la première fois du séjour…)

Super rivière, super ambiance, c’est bizarre de Kayaker entre les arbres, mais bon on s’y fait.

Nous sommes doublés en trombe par des Kayaks à Grande Vitesse qui passent de gauche ou de
droite en nous laissant sur-place.

Arrivée à la brasserie, je stoppe avec Stéphane, le reste du groupe enchaîne.
Nous les rejoindrons cette fois avec l’équipe au complet pour terminer par la partie basse de la
rivière.

Nous rentrons donc au camping sans un grain de sable dans cette organisation quasi-parfaite.

Après un super dîner « bien épicé » préparé par Brigitte (Merci Brigitte), nous attaquons une
grosse réflexion sur le timing de la descente du lendemain, une partie du parcours étant fermée
pendant la durée de l’épreuve du sprint de descente.

Comme d’hab., nous trouvons la meilleure des solutions puis extinction des feux (ou
plutôt « serviette de Pierre sur le lampadaire à moustique »).

JOUR 2

Réveil général à 7h00 (j’ai bien dit 7…) tout le monde se lève : nous devons impérativement
être dans l’eau au moment du lâché du barrage à 9 heures.

Et à 9 heures, incroyable mais vrai, nous sommes au rendez-vous pour assister à l’ouverture des
vannes du barrage.

Coté navette ça aurait dû être simple….

Mais après 2 bains coup sur coup juste avant les vraies difficultés, je déclare forfait et décide
de m’arrêter dans un «champ de grenouille » juste en dessous de Treignac et laisse le groupe
continuer sans moi.

Finalement ce tronçon je ne le verrai pas cette fois ci, je laisserai la fine équipe vous en parler à
ma place.

J’attends donc à Treignac que l’on vienne me chercher. Après un certain temps (3 ou 4 heures)
je commence vraiment à me poser des questions :

M’ont-ils abandonné ?
On-t-il enfin réussit à se débarrasser de moi ?
Et hier au saut du loup, était un incident ?

Et finalement, je suis « sauvé » par Ulrike et Éric. (Ulrike et Jean-Marie nous on rejoint depuis
Libourne) : Je suis soulagé, ce n’était qu’un problème d’entente sur le lieu de RDV.

Alors Maintenant pour ceux qui suivent nous sommes 13.

L’après-midi : Navigation des Carderies (Ou j’attendais le matin même) jusqu’à la Centrale Edf de
Chingeat. Brigitte et moi faisons la navette et en profitons pour aller prendre des photos et des
vidéos dans les rapides de la Gougonnerie et des Serpents.

Nicolas « Ren » et Marie Laure nous quittent au débarquement : nous ne sommes plus que 11.

Retour au camping : une bonne bière s’impose, puis un bon repas (recette de Brigitte à base de
choux et baie le tout accompagné du très bon « Lussac saint Emilion » produit par Jean marie. (À
consommer avec modération…encore que…).

Nous lançons ensuite notre traditionnelle discussion organisationnelle du lendemain :
L’objectif est particulièrement ambitieux : Navigation le matin et retour sur Villeurbanne pour
19h.

JOUR 3

C’est donc encore une fois à 7h que nous nous éveillons pour attaquer cette nouvelle et
dernière journée en Corrèze.

Après le p’tit déj. et le pliage du camp, nous partons direction la moyenne Vézere.

Nous sommes dans l’eau à midi (c’est déjà mal barré pour l’autre objectif de la journée…), ce
tronçon est particulièrement calme et la seule difficulté est une jolie vague à surf que nous
passons tous sans encombre (le Saut du Moine)

Tellement calme que l’arrivée ce fait attendre et qu’après 2h30 et 12 km d’effort nous sommes
heureux voir enfin le débarquement et de profiter d’un dernier pique-nique tous ensemble.

Un dernier au revoir aux Libournais, quelques amabilités avec un club parisien que nous avons
croisé sur l’eau et nous voilà déjà en voiture pour le trajet de retour.

Je vous passe les détails du voyage de retour si ce n’est que, les bouchons aidants, nous n’avons
pas rempli notre objectif d’arriver avant 19h.

Stephen

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