Participants : Raph, Christelle, Jérome, Alessandra, Nico R, Nico G, Cyril, Fred, JS
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Rendez-vous au club à 8h15. Ça pique pour plusieurs vaillants kayakistes ! On charge, on s’apprête, on cause point Godwing et coefficient de Manning, on s’imagine les gorges du Vénéon… Mais tout à coup, des échos de « Lignon du Forez », se font entendre. La rivière sort de la noosphére et résonne dans les esprits embrumés. Ni une, ni deux, Raph-le-G.O. est tiraillé, et le groupe est perdu : on ne sait plus où on navigue. Et puis finalement coup de fil à un ami, le Lignon est un peu haut, ce sera pour une prochaine fois, on reste bien sur le plan initial.
En route donc pour Bourg d’Oisans ! On arrive jour de marché et c’est café/demi en terrasse et petites emplettes locales. On reprend le camion, direction le départ du P4 Plan du Lac. La vallée est magnifique, encaissée mais aérée, verte, pierreuse, parsemée de torrents et de cascades. Vu d’en haut, le Vénéon n’a pas l’air si terrible… La bonne blague ! On embarque à la base de raft et on s’enchaine 3 kilomètres de descente sympathique. Le rythme des premiers passages est assez soutenu, le courant file mais rien de terrifiant. Cyril hésite quelques fois entre le courant et le contre-courant. Un tout petit bain vite fait et la descente est déjà finie.
La phase deux de la journée s’amorce, la suite de la descente (P5). Départ et retour de la navette, quand soudain, horreur ! On réalise que l’accès à ce parcours est réglementé en fonction du niveau d’eau : si celui-ci est dans le rouge à l’échelle de Bourg d’Arud (<10 m3) et bah on l’a dans le baba. Le niveau était bien rouge, le groupe est à nouveau perdu. On cherche une autre portion à faire, conscient de l’éloignement de certaines rivières, comme le Lignon du Forez, qui est quand même à nouveau proposé. Heureusement, Raph-le-G.O. est là, et il a plus d’un tour dans son sac !
Direction le haut de la rivière, la fin du P1, sur des routes sinueuses, au bord de l’à-pic. Raph s’excuse de la conduite rapide, soit disant pour ne pas perdre trop de temps et d’élan dans la montée, mais tout le monde sait bien qu’il prend son pied.
Premier rapide, le niveau de l’eau est bon, elle est toujours fraiche, l’air s’est aussi refroidi en altitude. Mais le soleil est là ! On embarque, Raph, Jérome et JS en amont du premier rapide classe 4, le reste du groupe un peu plus bas. Premier constat : ça pousse très fort ! Ça file sans cesse, les stops sont bien là, mais il faut les voir vite et les rejoindre bien, malgré le courant et les cailloux partout. Sensations sport extrême garanties ! JS prend bien soin de foirer chaque passage du premier rapide, enchaînant trois esquimautages. Le reste de la descente se fait sur ce rythme très soutenu, permettant quand même quelques pauses. On s’arrêtera juste avant le rapide du photographe, car après le parcours se complique. Ce sera pour une autre fois !
[peg-image src= »https://lh3.googleusercontent.com/-jf0o_XMbf6k/V1cnXR6IH4I/AAAAAAAANOA/7nEDeCSI0d0cZbRkZhDpL5oHFHFSjZgFACHM/s144-o/DSCN5628.JPG » href= »https://picasaweb.google.com/117182684418069850516/6293539518305354385#6293542285171236738″ caption= »DSCN5628.JPG » type= »image » alt= »DSCN5628.JPG » image_size= »3264×2448″ ] Bière au soleil. On déplore une blessure à la cheville en fin de parcours. Dommage, le Fred avait vraiment assuré comme un chef ! Merci Alessandra pour la conduite aller-retour, et merci aux DJs !
JS
citation faisant date : « moi j’aurai bien fait l’armée , mais le problème c’était la guerre »