Direction l’Eyrieux, le samedi 25 octobre. La journée est chaude pour un mois d’octobre. Plein de gens environ une douzaine au départ et une quinzaine à l’arrivée. Entre temps les véhicules se sont remplis, mais il était moins une pour qu’aucun ne récupère Judith à Valence. Tentons quand même un listing : Nico L, Mick, Marie-L, Jérome, Judith, Pascale, Nathalie, Julien, Sam, Stéphane, Jacques, Guillaume, Stephen, et Yves.

On embarq²ue au pont de Moulinon, j’annonce 1h30 à 2h de navig, on y passera finalement, 3/4h, mais j’étais très optimiste.

Avant d’embarquer, nous mangeons, évidemment, et restons plus ou moins indifférent à l’art moderne représenté pour l’occasion par un abri de bus peint en bleu et sonorisé avec des bruits bizards, bruit de scie, interview de pépé et mémé, la bande son pourrais être utilisé pour la torture de prisonnier de guerre.

La rivière est une rivière « d’entrée de gamme » ; ce qui permet de travailler ses stops, bacs reprise. Les premiers bains pointent vite le bout de leurs nez, et là on sent bien le mois d’octobre dans la température de l’eau.

Sur le parcours se trouve un parc aventure récemment endommagé par les crues, et des cables traînait dans l’eau ; les renseignement que nous avions eu étaientt correct, le site a bien été nettoyé, pas de mauvaise surprise, même pas drôle.

La rivière se poursuit et deviens moins sauvage, plus de barrages et de planiols, mais le planiol c’est bon pour la forme !! Et puis ces lignes d’horizon de l’eau plate sont tellement merveilleuses. On continu après les Ollières pour débarquer « aux chèvres » , la rivière réserve encore 2/3 rouleaux joueurs. On profite du gâteau préparé par Pascale, et retour sur Lyon. Certain indépendantiste reste sur place et profite d’une navigation au couchant (je vous expliquerais tantôt), certain encore plus indépendantiste se feront une Gluyere le lendemain après un camping sauvage (et ca on vous à déjà raconté).

Moralité, le moyen Eyrieux est un joli morceaux de rivière de fin de saison , il peut accepter beaucoup d’eau (ce qui n’était pas le cas lors de notre descente). Coté difficulté on est entre une Drôme et un Allier, bref petit 3, mais il y a de belles lignes (presques) droites.

Raph

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